Toujours des petits trous
Mario Golf : World Tour a pour mission de faire patienter les fans de Nintendo avant les grosses sorties de l'été. Pourtant, le jeu a deux fardeaux à porter : un segment du jeu de golf sclérosé et des titres estampillés Mario, tous synonymes de concurrents potentiels. Car le plus gros souci de Mario Golf : World Tour s'appelle Mario Tennis Open.
Depuis son annonce, Thief a plus suscité la crainte que l'enthousiasme. À vrai dire, par son existence, le titre est symbolique de l'époque pour deux raisons. Premièrement, il représente l'occidentalisation récente du catalogue de Square-Enix. Ensuite, il symbolise la "casualisation" régissant le secteur depuis des années. Tel le roi de voleur, Thief arrivera t-il à retomber sur ses pieds ?
Ça dézingue la concurrence
Maman Free-to-play a accouché d'un nouveau jeu du petit nom de Loadout. Maman Free-to-play a un sacré cycle puisqu'elle parvient à pondre beaucoup de gosses chaque année. Certains sont des enfants plein d'avenir et d'autres sont des canards boiteux qui tentent tant bien que mal de tromper leur monde, mais nous ne sommes pas dupes. Alors le dernier né, Loadout, fait partie de quelle catégorie ? La visite médicale va vous éclairer.
Vous reprendrez bien du clafouti ?
Deception IV : Blood Ties comme son nom l'indique, est le quatrième épisode d'une licence méconnue en France, nommée Kagero au Japon. Débutée sur PlayStation en 1996, la voilà de retour après dix ans d'absence, et elle n'a rien à voir avec Transformers. Alors, Déçu ?
De nombreux damnés erraient sans but depuis quelques temps, attendant l'arrivée du successeur du très bon Dark Souls. Après s'être montré à la presse en plusieurs occasions, ce second opus arrive enfin sur console. Malgré la jeunesse de la licence, les expectations sont fortes, alors Dark Souls II respecte-t-il les traditions instaurées par ses aînés ?
L'infiltration presque next-gen
Annoncé comme un prologue payant à Metal Gear Solid V : The Phantom Pain, Ground Zeroes a, par son existence, suscité débat. Car s'il y a une chose assez caractéristique et énervante chez Hideo Kojima, c'est sa propension à jouer de son statut de "petit génie du jeu vidéo" afin de se mettre les fans dans la poche. Bien que la prétention du bonhomme puisse agacer, il faut reconnaître que le résultat est à la hauteur. En général.